Thaïlande 2ème escale: Ayutthaya et Tom Kaa Gai !

Après nos quelques jours à Bangkok, il était temps de commencer notre voyage vers le Nord, destination Chiang Mai. Mais avant d’y arriver, passage obligé par Ayutthaya.
 La ville se trouve au confluent du Chao Phraya et du Pa Sak, la vieille ville se trouvant dans un méandre du fleuve, recoupé par un canal pour en faire une île.
 Le marché aux orchidées, proche des temples dans le centre ville! Ma fleur préférée qui pousse là-bas comme des mauvais herbes!
Une ville remplie d’histoire, puisqu’elle fut fondée au 14ème siècle par Ramathibodi 1er et devient la capitale de son royaume…Mais cette ville ne connut qu’un bref moment de gloire, car elle fut dans un premier temps pillée par les armées birmanes au 16ème siècle puis détruite au début du 18ème siècle. 
 Ne restent que des ruines des principaux temples de la région, protégées de nos jours et mis en valeurs dans des parcs historiques qui se visitent pendant la journée. Rien de tel que de louer un vélo ou un scooter pour faire le tour de la ville et passer de temple en temple (plus d’une quinzaine au total), pour visiter ces fameuses ruines.     
Ce qui surprend au début, c’est ce voir tous ces bouddhas décapités par les Birmans, il ne reste quasiment aucun bouddha entier : Souhaitant écraser Ayutthaya avec acharnement, ils ont quasiment décapité toutes les statues de Bouddha qui se trouvaient sur leur chemin.
Nous commençons par un des temples les plus connus, le Wat Phra Mahathat. Il n’y a que des ruines, mais aussi cette tête de bouddha en pierre entremêlée dans les racines d’un arbre « sacré » (habité par certains esprits). Le site est très beau, mais mieux vaut être averti, il est aussi assailli par des hordes de bus de touristes…oubliez les photos ou il n’y a personne, c’est quasiment impossible ;)
 
 
 
Le Wat Phra Si Sanptet est aussi très réputé, pour ses 3 chedis (stupa, sorte de mausolée) qui sont restés relativement intacts. La visite se poursuit, on en prend vraiment plein les yeux, nous sommes dans un musée à ciel ouvert…cette beauté me touche à chaque fois, j’avais déjà ressenti ceci lors de ma première visite en 2006 !                                                   
Ce n’est pas tout, mais le vélo, ça creuse ! Nous avons très bien à Ayutthaya au bord du fleuve. Un très bon poulet noix de cajou et du bœuf et basilic thai frit ! Savoureux avec une sauce au tamarin pimenté ! 
 
Il est temps de passer à la recette du jour. Impossible de voyager en Thaïlande sans manger une soupe à la noix de coco. La fameuse Tom Kha Gai (ou kai), soupe de noix de coco au galanga et poulet ! Le galanga fait partie de la même famille de rhizome que le gingembre, mais à un goût plus poivré et piquant, moins « pimenté ». 

Nous l’avons préparée qu’avec du lait de coco sur place, c’est bon, mais selon le lait, cette soupe est très riche. Ici, j’aime bien partir avec un bon bouillon de légumes et y ajouter de la crème de coco, plus concentrée et souvent de meilleure qualité. Vous pouvez la remplacer par 100% de lait de coco

 Soupe de poulet au lait de coco et galanga, Tom Kaa Gai
------- Ingrédients (2 pers.) -------
3dl de bon bouillon de légumes
3dl de crème de coco
2 tiges de citronnelle
5 tranches de galanga
6 feuilles de citron kaffir (kaffir lime)
1-4 petits piments rouges (selon vos goûts)

100g de filet de poulet émincé
1 oignon, coupé en 4
1 tomate, coupée en 8 (ou tomates cherry coupées en 2)
3-4 champignons (pleurote, champ. de Paris)

4 càs de sauce poisson
4 càs de jus de lime vert
2 càs de sucre de palme (ou sucre roux)

Coriandre fraîche et cive (oignon nouveau) pour servir

---------- Préparation ----------
Temps de préparation : 20min
Temps de cuisson :
10-15min


Ce qui prend le plus de temps dans cette préparation, c’est la mise ne place et découpe de tous les ingrédients !

Pour la citronnelle : pour qu’elle donne un max de goût, l’écraser avec le plat du couteau, puis la trancher en biseau. Le galanga peut se laver ou peler si besoin, mais on ne le mange pas (du moins, pas trop). Il faut retirer la nervure centrale des feuilles de kaffir lime, sinon elle donne de l’amertume désagréable. Le piment rouge va juste donner un peu de piquant, il suffit de le taper avec le plat du couteau pour qu’il s’écrase un peu. Laisser le entier comme ceci dans la soupe, et ne pas oublier de le retirer avant de déguster ;)

Ensuite, 2 façons de faire : comme en Thaïlande, à savoir, laisser toutes les herbes dans la soupe. Cela donne du goût mais ce n’est pas toujours très agréable à manger ! La citronnelle, les feuilles de kaffir et le galanga sont assez durs à mâcher… Sinon, vous pouvez faire infuser les herbes dans le bouillon chaud pendant 30min à 1h, puis filtrer et continuer la recette sans les herbes dedans. C’est beaucoup plus agréable pour manger ! Vous pouvez juste ajouter la partie tendre centrale de la citronnelle finement émincée pour donner plus de goût. 

Dans un wok, faire chauffer le mélanger bouillon et crème de coco sur feu doux (il ne faut pas que le lait de coco ou la crème bout, sinon cela va se séparer). Ajouter les herbes (citronnelle, galanga, kaffir et piment) dans le wok et laisser infuser 5min sur feux doux. 

Ajouter le poulet et laisser cuire, toujours sur feu doux. Une fois cuit (3-4min), ajouter l’oignon, la tomate et les champignons, remuer. 

Ajouter au final la sauce poisson (qui va saler la préparation !), le jus de citron et le sucre de palme. Goûter, au besoin rajouter de la sauce poisson si ce n’est pas assez salé (ou du sel de cuisine). 

Bien mélanger, servir dans des bols, ajouter un peu de coriandre fraîche et de la cive émincée.
  ---------Bon Appétit! ---------
J’en ai mangée quasiment dans toutes les villes visitées, cette soupe me plaît vraiment beaucoup ! Si vous n’aimez pas la sauce poisson, vous pouvez utiliser un peu de sauce soja pour saler la soupe, sinon cela risque fort d’être insipide!

Thaïlande: 1ère escale Bangkok et rouleaux de printemps

Impossible de ne pas vous raconter un peu mon voyage récent en Thaïlande, ni de vous présenter les recettes que nous avons concoctées à Chiang Mai durant un très bon cours de cuisine ! Et au passage, pour celles et ceux qui se disent que je devrais plutôt présenter des recettes de fêtes, vous pouvez toujours accéder à ma rubrique « Plats de fêtes » ici ;)
  
Le Wat Suthat fut construit par Râma Ier et achevé par Râma III. Il est célèbre pour son gigantesque portique de la Balançoire placé juste à l'entrée. C'est est l'un des 6 temples royaux de Thaïlande.
 Nous arrivons donc à Bangkok, chaleur et moiteur nous attaquent directement à la sortie de l’avion ! Après quelques formalités douanières et un trajet en taxi dans la circulation dense et l’atmosphère chargée de BKK, nous arrivons en centre-ville ! Au programme pour ces quelques jours, visites des différents temples, découverte du « Mont d’or » qui surplombe la ville, balade dans le palais royal, découverte du grand bouddha couché, mais aussi virée en long tail boat (bateaux rapides sur le fleuve), marche au bord du fleuve sacré, le Chao Phraya qui commence à peine à redescendre suite à la mousson.
Une alignée impressionnante de bouddha doré et en pierre dans le Wat Suthat, tout autour du temple principal !
Bangkok et sa frénésie, ses ruelles bondées, aux senteurs si différentes : agréables parfums de jasmin aux abords des artisans qui préparent des chapelets de fleur pour les prières, aux odeurs quasi pestilentielles proches de certains endroits moins propres. 
Dans les petites ruelles archi bondées de China town. On y trouve de tout, surtout des choses étranges à manger
Le nouveau BKK avec son sky train, le quartier de Silom où l’on se croirait quasiment en Europe, avec ses grands centres et magasins. Cependant au milieu de tout ceci, des temples, havres de paix unique où il fait bon de s’arrêter pour y découvrir une architecture magnifique et des bouddhas tous plus beaux les uns que les autres. 
 
 On trouve partout de quoi manger dans la rue. Cela va des brioches chinoises à gauche, au fruit sacré qu'est le durian, joli à photographier, mais tellement fort à l'odeur !
Des temples, tous différents, mais avec une ambiance si particulière…des alignées impressionnantes de bouddhas, dorés, en pierre, en toge orange ou décrépit. Des Thaïs qui s’arrêtent pour prier, quelques bâtons d’encens et fleur de lotus à la main. D’autres qui passent dans le quartier chinois en scooter, qui s’arrêtent quelques instants devant le temple, priant sur leur scooter, moteur allumé bien entendu !
Une marchande en train de préparer la fameuse salade de papaye verte et très épicée
C’est aussi c’est gens qui paraissent gentils, qui vous demandent d’où vous venez, mais qui dans le fond, vous diront qu’aujourd’hui, c’est « bouddha holiday » et qu’il est donc inutile d’aller visiter les temples …connu et archiconnu…un peu lassant et surtout dommage pour les autres personnes qui sont, elles, gentilles et bien attentionnées. 
 
 Le Wat Arun (thaï : วัดอรุณ, le temple de l'aube) est situé dans le quartier de Bangkok Yai, sur la rive droite du fleuve Chao Phraya. Son nom complet est Wat Arunratchawararam Ratchaworamahavihara ;)
BKK, c’est aussi toutes ces roulottes marchandes, qui vendant un peu de tout et n’importe quoi à boire et à manger. Des étals de fruits frais, aux artisans s qui découpent des ananas d’une main de maître. Ces petites dames qui préparent des soupes fumantes et bien odorantes, ou encore celles et ceux qui font griller des brochettes satay sur un grill improvisé dans un vieux récipient métallique...
  
A l'intérieur des enceintes du temps royal, des stupa et batiments incroyables nous attendent...mieux vaut y aller à l'ouverture pour éviter les milliers de touristiques qui s'y pressent! 
 BKK, si belle, mais aussi si bruyante avec toute cette circulation, voitures, camions, scooters, sans oublier les fameux tuk-tuk, filants à toute vitesse un peu partout, émettant des sons improbables ainsi que des fumées bleues bien épaisses… 

J’aime beaucoup cette ville qui est en mouvement, tout le temps. Cela peut être fatigant, mais elle est fascinante ! 

Je ne peux pas vous parler de BKK sans vous parler de notre expérience dans un tout petit restaurant qui ne payait pas de mine, mais qui est réputé pour faire le meilleur Pad thai de BKK ! 
Le pad thai, c’est un des plats signatures de Thaïlande, un incontournable ! Vous en trouverez quasiment partout. Comme souvent, il n’y a pas une recette, mais autant que de cuisiniers. Il s’agit de nouilles de riz sautés dans un wok, accompagné d’œuf brouillé, de poulet ou crevettes, cive émincée et d’une sauce…normalement avec du jus de tamarin…Après, tout peut varier. C’est par ailleurs un des rares plats qui se mange avec des baguettes en Thaïlande !!! (oui, seulement pour les plats avec des nouilles sautées ;)
 
Il s’agit du Thip Saman (qui est proposé dans le lonely planet, mon livre de référence pour voyager). Nous arrivons relativement tôt, mais il y a déjà la queue pour y manger. Qu’importe puisque la queue se trouve devant le restaurant, là ou un cuisinier est responsable de faire l’une des spécialités de la maison, le pad thai en omelette. Après quelques minutes d’attentes, nous sommes à table et commandons un pad thai normal ainsi que la version omelette. Une assiette en plastique qui ne paie pas de mine, mais un pad thaï vraiment très bon…et le tout, pour 90 baths, soit un peu moins de 3.- Sfr par personne !
Je pourrais vous parler des heures de BKK, mais ce blog étant consacré à la cuisine et non pas aux voyages, passons à une recette du nord de la Thaïlande ! Une entrée que l’on mange souvent, des 
Rouleaux de printemps  au poulet ou pho-pea-thod en thai
------- Ingrédients (10 rouleaux) -------
4 càs d’huile
1 càc d’ail émincé
50g de poulet très finement émincé (peut être remplacé par du tofu pour une version végétarienne)
2 càs de sauce poisson (peut remplacer par sauce soja vég.)
2càs de sauce d’huître
½ càs soupe de sucre de palme (ou brun)

100g de nouilles de riz fines, trempées dans de l’eau tiède pour ramollir, et découpées
100g de pousses de soja
4 cives, émincées finement
50ml de bouillon de légumes (ou d’eau) 

10 feuilles de pâtes pour rouleaux de printemps
1 jaune d’œuf battu pour coller
---------- Préparation ----------
Temps de préparation : 20min
Temps de cuisson :
5-10min



Dans un wok, faire chauffer l’huile, puis y faire dorer l’ail émincé, jusqu’à ce qu’il soit bien brun. Ajouter le poulet émincé, bien remuer pour ne pas que cela attache au fond du wok. Ajouter la sauce poisson, sauce d’huître et le sucre, mélanger. 
Ajouter ensuite les pousses de soja, la cive et les nouilles, mouiller avec un peu de bouillon de légumes pour faire cuire le tout. Retirer le wok du feu une fois que tout le liquide est absorbé, débarrasser sur une assiette et laisser refroidir. 

Préparer la pâte pour les rouleaux. Nous avons travaillé avec des feuilles carrées, cela semble plus simple. 
 Mettre devant soi la pâte, comme un losange. Ajouter un peu de farce, recouvrir avec la pâte et retirer vers soi pour serrer la farce. Rouler jusqu’à la moitié, puis rabattre les bords pour avoir un rouleau bien droit. Badigeonner de jaune d’œuf le bord du triangle restant pour coller, et rouler pour finir pour avoir un rouleau complet. Si vous ne comprenez pas, il existe plusieurs vidéos sur le net pour montrer comment rouler le rouleau ;)

Il suffit ensuite de faire frire dans l’huile, jusqu’à ce que les rouleaux soient bien dorés ! Débarrasser en premier sur un papier absorbe tout pour retirer l’excédant d’huile. 

Petite astuce pour ne pas casser le rouleau en le coupant (vu que la pâte est très friable) : Donner un petit coup de couteau avec le bas de la lame (partie droite la plus proche du manche) pour commencer la découpe en biseau au centre du rouleau. Il suffit ensuite de découper délicatement pour avoir de très bons rouleaux de printemps. 

Servir avec une sauce douce piquante qu’on trouve même en grandes surfaces ! Un vrai régal pour débuter un repas thaï ! 
 ---------Bon Appétit! ---------
Concernant le nom, les Thaïs nous ont tjrs parlé de Spring Rolls, donc rouleaux de printemps...d'habitude, les rouleaux de printemps sont cru, et les nems sont cuits...Du coup, il s'agit plus de nems thaïs frits.

Il faut préciser qu’il s’agit là de pâte pour rouleaux de printemps, ce n’est pas les feuilles de riz que l’on utilise pour faire les rouleaux froids !!! Demander dans votre magasin si vous avez un doute ! 

Vous pouvez aussi remplacer le poulet par du porc ou des crevettes pour changer les goûts !

A bientôt pour une prochaine ville et prochaine recette !

Et voila un 17ème point bien mérité pour Damien Germanier !

Juste avant de partir en Thaïlande, Madame et moi-même sommes allés en Valais pour une petite «virée gourmande ». Un chef de talent, qui est passé dernièrement à la télévision suisse romande, 2x en couverture de l’Illustré valaisan, un chef qui est l’un des chefs de demain en Suisse, bourré de talent et qui n’arrête pas de monté au G&M ?

Voyez-vous de qui je parle ? Didier de Courten ? non, pas cette fois ! Nous faisions le déplacement pour le nouveau restaurant éponyme du jeune chef Damien Germanier

Un chef que je suis depuis plusieurs années maintenant…une évolution flagrante, il n’y a qu’à regarder ses assiettes et les plats proposés ! J’étais allé dans son tout premier restaurant dans la ville de Sion, la table d’hôte et avais dégusté pour la 1ère fois sa cuisine inventive et du terroir ! Ceci avait été suivi par un passage rapide à Vétroz, dans le restaurant de l’Abbaye, Damien reprend ensuite le restaurant du Botza situé un peu plus bas dans le village de Vétroz. 

En 2010, il obtient 15 points bien mérités au G&M. Mais cela ne s’arrête pas, non bien au contraire. 2012, grande année pour le chef : Promu romand 2012 au G&M, un point supplémentaire qui le propulse à 16 points, et ce n’est pas tout. Damien devient espoir pour une étoile Michelin…ce n’est plus qu’une histoire de quelques mois (je l’espère). 

Et en 2013, Damien revient s’installer à Sion, avec son nouveau restaurant…et au passage, le chef reçoit son 17ème point au G&M…rien que ça ! Nous nous réjouissions donc beaucoup pour cette soirée. 

Nous arrivons devant les vitres du restaurant, petit coup d’œil, et hop, nous rentrons ! Le cadre est sobre, de bon goût et l’on s’y sent bien directement. Beaucoup de place, de belles tables dressées, des couleurs apaisantes, on apprécie vraiment beaucoup l’endroit durant les premières minutes. Un cadre qui lui correspond plus, à sa cuisine gastronomique et élaborée aussi ! 
Et que le spectacle commence ! Nous prenons le menu proposé pour nous par le chef, avec un accord mets-vins (très bon rapport qualité prix) pour avoir toujours l’accord parfait !
Nous commençons avec une mise en bouche qui en jette, rillettes et saumon, très frais et agréable.
 Cela est suivi par une mousse de betteraves et fromage de chèvre, très bon. 
Après ces deux mises en bouche, il est temps de passer aux choses sérieuses:

Les coquilles St-Jacques en fin carpaccio aux pommes Granny Smith, huile à la vanille maison, crème prise de céleri au caviar et pesto de cerfeuil

Le filet de rouge croustillant, mousseline de potimarron au beurre salé, texture de butternut et courge musquée

Le pavé de lieu jaune nacré, légumes racines crus et cuits et algue, dashi parfumé à l'anis vert

Le filet de cerf sauvage rôti, pain caramélisé aux épices à Leckerli, raisins glacés et une autre vision du papet

Pour continuer, un très beau plateau de fromages, ainsi qu’un pré-dessert à base d’ananas (photos pas top ;)) 

Nous finissons avec un très joli dessert : L'orange en biscuit moelleux aux zestes confits et gingembre, crémeux mangue passion, nuage d’œufs à la neige et sorbet à l'orange.

Mignardises servies avec le thé/café et voilà, le repas est terminé. 

Nous avons vraiment passé un très agréable moment dans son nouveau restaurant gastronomique. Madame me déclare même que c’est son coup de cœur de nos virées gastronomiques pour 2013, rien que ça !!! 

Une cuisine colorée, avec des produits du terroir, des techniques et cuissons parfaites, que dire ? Je ne peux que vous conseille d’aller y faire un tour si vous êtes dans la région, cela vaut vraiment le détour !

Un grand bravo une fois de plus à toi Damien, tu vas t’arrêter un jour  ;) ?


17 points G&M
Rue du Scex 33
1950 Sion
027/322 99 88
info@damiengermanier.ch

Vous l'aurez peut-être remarqué, mon logo copyright n'est plus placé sur les bords de l'image mais relativement au centre....la faute à des gens malhonnêtes qui emploient sans autre mes photos, sans aucune demande ni autorisation...du coup, on fait comme on peut. J'espère que cela ne vous dérangera pas trop... Si vous avez besoin de photo, je suis tjrs joignable par email !

Haricots verts, tomates fraiches

Une petite envie de salade vite et bien faite. Depuis  que je rééquilibre mon alimentation c'est fou ce que j'ai de grandes envies de salades. Alors en voilà une de plus.

 Rien que pour une personne :


  • 1 poignée de feuilles de chêne verte
  • 1 poignée haricots cuits à la vapeur
  • 3 tomates fraîches coupées en rondelles
  • 3 œufs durs coupés en deux saupoudrés de paprika doux
  • feuilles de ciboulette pour le décor
  • fleur de sel
  • une cuillère à soupe de vinaigre balsamique
Allez hop ! C'est parti pour ma recette de haricots verts !

Je commence par laver ma salade, l’essorer et la réserver dans un petit saladier.
 Dans une assiette plate je dispose mes rondelles de tomates en y laissant un creux.
Dans ce vide je dispose les haricots verts. Je finis avec les œufs disposés tout autour.
Sur la salade je laisse couler la cuillère à soupe de vinaigre balsamique. Pour finir je décore les haricots avec des feuilles de ciboulettes émincées et la fleur de sel.
                                             
 Bon appétit.