Detaile drecipes

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais ce n’est pas toujours évident de choisir un restaurant. Il y a plusieurs façons de procéder :

- Un restaurant que l’on connaît et où l’on sait qu’on va passer un bon moment. Jamais de problème, mais on connaît déjà l’ambiance, la cuisine, ce n’est pas une grande découverte…Je dois dire que je pratique souvent cette méthode avec mes restaurants favoris, qui me surprennent quand même par leur créativité qu’on retrouve dans l’assiette.

- Les : « je connais ce resto, il est vraiment super, je te le conseille vivement ! » À voir avec qui on discute, cela peut être l’occasion de tomber sur de vraies perles, pour autant que votre ami ait les mêmes goûts que vous…Tant niveau cuisine que niveau prix…J’ai découvert un chouette restaurant à Sierre (la Villa Bayard pour ne pas la nommer) avec une déco hors-norme et une cuisine tout à fait appétissante de cette manière.

- Le hasard fait bien les choses il paraît, on peut donc aussi s’arrêter dans le premier resto qui nous plaît, se basant souvent sur : le nombre de personnes en salle (peu de monde = mauvais signe), la carte et les prix et le décor. Nous sommes tombés comme ça sur un restaurant absolument génial à Freiburg-en-Brisgau, où nous avons mangé un Chateaubriand que je ne suis pas prêt d’oublier (une sauce à se damner…) Cependant, le hasard peut aussi faire très mal les choses, comme ce restaurant à Londres ou il a fallu attendre 45min pour se faire servir un filet Wellington vraiment très mauvais et au prix discutable…attrape touriste, je vous le concède volontiers !

- Les guides culinaires pour les grandes tables (avec étoiles ou toques), avec leur jargon parfois très pompeux, pratiques pour les grandes occasions…On se demande si tout est toujours à jour et c’est l’avis de professionnels, qui recherche peut-être d’autres choses qu’un amateur lambda…

- Les blogs, ou différentes personnes racontent leurs expériences personnelles dans un resto ou l’autre, avec parfois, cerise sur le gâteau, des photos à l’appui. On voit vraiment ce que l’on va manger, pour autant que la photo soit de bonne qualité (ce n’est pas non plus toujours vraiment le cas, avec son iPhone a 22h sur une terrasse, le plus beau des desserts peut paraître un peu difforme).

- Et l’on trouve maintenant des sites qui regroupent toutes les expériences des clients, avec des notes et des appréciations.

C’est le cas du site iTaste dont je veux vous parler aujourd’hui. Précision qui a toute son importance, je ne suis ni rémunéré, ni sponsorisé et je fais ce billet de mon propre grès, étant un utilisateur vraiment conquis par le principe !

Brièvement, iTaste est un site communautaire consacré exclusivement à la gastronomie. Chaque membre d'iTaste devient un critique gastronomique et partage ses avis avec ses contacts et ceux qui veulent suivre son goût. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous sur cette page-là qui vous expliquera tout dans le détail.

Pourquoi ce site et pas un autre ?

- Basé en Suisse, je trouve beaucoup de restaurants de ma région, mais aussi à l’étranger (dans les grandes villes surtout, mais aussi ailleurs). La carte évolue au fil du temps, il suffit de rajouter une adresse et hop, voici votre restaurant

- Grands nombres d’adresses, souvent complètes avec numéros de téléphone, heure d’ouverture, tout ce qui nous simplifie la vie

- Entièrement gratuit, y compris l’application pour iPhone super pratique lorsqu’on est ailleurs que dans sa ville.

- Réservation gratuite dans certains restaurants, service qui fonctionne très bien pour l’avoir testé plusieurs fois

- Photos, textes descriptifs, on trouve souvent plus qu’une ligne de commentaire (pas le traditionnel : super, 20/20, très bien qui ne me sert absolument à rien). Les commentaires semblent fondés pour la plupart, mais impossible de tout contrôler. Il faut donc parfois un peu relativiser une note très bonne ou très basse et faire preuve de jugeote, indispensable sur internet.

- Interface sympa et dynamique, la navigation est simple et complète

Un exemple illustre très bien l’avantage d’un site comme celui-ci. N’habitant pas Lausanne, je connais que quelques restaurants, et encore. Je cherchais un bon restaurant thaï, chose qui n’est pas forcément aisée sachant qu’on trouve une flopée de restaurants asiatiques style snacks… J’ai donc utilisé iTaste pour me renseigner et suis tombé sur la perle rare, un restaurant situé dans un quartier résidentiel, à la vitrine qui ne paie pas de mine, devant lequel je ne serais jamais passé et dont peu de monde connaisse l’existence ! En l’occurrence, il s’agit du Tom Yam (je vous donne l’adresse, c’est tellement bon : Chemin de Chandieu 12, 1006 Lausanne, Vaud, Suisse).

Maintenant, à vous de vous faire votre propre opinion et d’aller voir ce site…. Qui sait, vous trouvez peut-être votre bonheur parmi tout ceci ! J’ai testé une 50aine de restaurants, vous pourrez avoir accès à mes photos et commentaires en vous inscrivant sur le site et en suivant mes évaluations ! Avis aux amateurs !

Je sais, la météo des derniers jours me fait douter d’être réellement en été, mais j’avais envie d’une entrée froide et gourmande.

J’aime bien le tartare bien préparé, avec de la viande de qualité et un bon assaisonnement. Je dois avouer aimer un peu moins la version de bistro avec beaucoup d’œuf dedans. Le pire étant encore la version avec l’œuf encore dans sa coquille trônant au milieu de la viande….merci les bactéries qui se retrouvent dès lors dans le tartare.

Point d’œuf donc pour cette recette, mais l’utilisation d’une huile absolument fabuleuse que je viens de découvrir : l’huile de noyau de pruneau d’Agen (merci la maison Perles De Gascogne qui m’en a fait parvenir un échantillon). Une huile très parfumée aux senteurs de fève tonka, très belle amertume. Une huile qui s’utilise pour parfumer les plats, comme une glace vanille ou autre. J’avais envie de tester la chose avec mon tartare


200g de bœuf Angus
1 càc d’échalote finement émincée, revenue dans un peu de beurre
1 pruneau sec, détaillé en petits dès
6-8 noix de Pécan
3 càs de parmesan fraîchement râpé
1càs d’huile de noyau de pruneau (ou autre)
2 càs d’huile d’olive de bonne qualité
Sel, poivre

Toasts pour accompagner

Temps de préparation :10min

Je préfère le rappeler ici, mais il est très important de couper la viande pour le tartare au COUTEAU et non pas de le hacher à la machine…cela ne sert à rien de faire du tartare avec une pièce si noble si c’est pour la réduire en purée ! Ceci étant dit, préparer la viande en la coupant en fines tranches, puis en lamelles et pour finir en tout petits morceaux à l’aide d’un bon couteau.

Mélanger dans un bol la viande ainsi découpée et tous les ingrédients. Bien mélanger, le tout doit bien se tenir (au besoin, rajouter un tout petit peu d’huile d’olive).

Dresser à l’aide d’un emporte-pièce et servir accompagné de toasts encore chauds !


J’adore le côté amer qu’apporte l’huile à ce tartare ! On aurait aussi pu n’employer que de l’huile d’olive et la parfumer avec un peu de fève Tonka fraîchement moulue. Vous pouvez aussi remplacer cette huile par une autre huile aromatisée (noix, noisette) selon vos goûts. Les noix de pécan se marient bien au tout et amènent un peu de croquant !

Aller au restaurant, c’est toujours un moment de plaisir! Cependant, je suis souvent confronté à al terrible question: Dois-je retourner dans un endroit que je connais ou que j’apprécie, ou dois-je satisfaire ma curiosité et tester un nouveau restaurant…Je crois qu’il n’y a en fait pas vraiment de réponse claire. J’ai par contre des restaurants “coup de cœur” que je fréquente régulièrement et qui m’enchantent à chaque passage.

Le restaurant de l’Hôtel de Ville de Fribourg me fait tout à fait cet effet-là. Tenu par le talentueux chef Frédérik Kondratowicz. Cela faisait un certain temps que je n’y étais pas retourné, pas depuis que ce chef fut nommé cuisinier promu romand 2011 au Gault-Milau, en étant récompensé en même temps d’un 16ème point!


Je connaissais déjà sa cuisine colorée et inventive, le chef en personne avait promis que ses prix n’augmenteraient suite à cette récompense...chapeau, car certains en auraient certainement profité pour augmenter l’addition !

C’est donc avec un immense plaisir que je suis retourné à sa table. Pas n’importe quelle table vu que nous étions sur le petit balcon qui surplombe toute la Basse-Ville, vue imprenable sur la Sarine, la planche supérieure, Lorette, à couper le souffle.

La salle est toujours aussi agréable, ambiance cosy, musique Jazz en fond…l’écrin parfait pour passer un bon moment.

Nous prenons un verre de vin blanc pour commencer tranquillement, tout en détaillant avec envie la carte proposée. À nouveau une belle promesse en la lisant, les titres de plats sont très prometteurs ! C’est aussi une des particularités du chef qui nomme ses plats d’une manière « légère », intrigantes et surtout non pompeux. Mais suffisamment parlé, une image vaut mieux que 1000 mots !

Nous commençons avec une mise en bouche étonnante de fraîcheur avec un gaspacho de tomate, boule de glace au basilic et concombre, petit dès de saumon au wasabi et gingembre (très fort). C'est très frais et coloré, tout ce que j'aime !


On nous propose ensuite deux entrées à choix: « une composition estivale autour du cabillaud, de la st-jacques et du calamar, piment doux et plein de petites surprises encore »


ou un foie gras au torchon maison accompagné d'un chutney d'abricot et tartare de filet de canard fumé. Comme toujours, les assiettes sont un vrai tableau, remplies de couleur et de formes ! C’est vraiment la marque du chef !


Le foie gras est divin, tout comme mes poissons et accompagnements !

Nous continuons avec "le meilleur de l'agneau d’Écosse, quelques chanterelles sautées aux herbettes, le jardin du moment et l’écrasée de pomme de terre, un trait d'orange confite et d'olive noire". Normalement je n'aime pas trop l'agneau, mais la cuisson est parfaite, la viande de très bonne qualité (ne sent pas trop fort) et fond dans la bouche! Les garnitures sont très bien choisies, un plat d’une grande classe !



Je passe par les fromages et nous arrivons ensuite au dessert avec « un fondant au chocolat pur caraïbe, relevé de framboises belle de Fontenay, une fine crème au gingembre et une gelée au citron vert, un surprenant sorbet à l'oseille ». Il y a une vraie histoire derrière ce titre. D’ailleurs, s' il ne vous fait pas saliver, je ne sais pas ce qu'il vous faut ! Très gourmand, plein de saveurs, une grande réussite.

Le service est très bien réalisé, il y a un peu plus de personnel ce qui fait que tout tourne parfaitement. La carte des vins est toujours une belle découverte, de très jolis produits y sont présentés. Et chose que j'apprécie vraiment énormément au restaurant, le chef est passé en salle salué toutes les tables en discutant avec les clients! Certains chefs 2 étoiles devraient en prendre de la graine!

Et le chef a tenu parole, son menu n’a pas augmenté…ce qui en fait sans aucun doute l’un des meilleurs rapports qualité-prix de la ville et de toute la région !

Menu mise en bouche, entrée, plat et dessert : 72.- Sfr et 85.- Sfr avec les fromages…qui dit mieux ?

Alors, si vous êtes une fois de passage sur Fribourg, n’hésitez pas à venir tester par vous-même cet endroit au charme fou !

La cuisine italienne est toujours une grande source d’inspiration pour mes recettes ! J’aime cette cuisine variée et colorée qui sent bon le soleil ! Une cuisine de circonstance puisque les étales des maraîchers regorgent de belles aubergines, courgettes et autres fèves ou petits pois.

J’ai eu envie de préparer des lasagnes, mais de sortir des sentiers battus. Exit sauce béchamel, sauce bolognaise et place à des courgettes confites, un pesto maison au basilic et roquette et une farce ricotta et gorgonzola


4 pâtes pour lasagnes rectangulaires aux épinards

Pour le pesto :
1 poignée de feuilles de basilic
1 poignée de roquette, sans les tiges épaisses
4-5 noix de Pécan
Sel et poivre
3càs de parmesan frais
Huile d’olive

2 petites courgettes bien fermes

Pour la farce au fromage :
150g de ricotta
Un peu de gorgonzola (selon vos goûts)

Un peu de demi-crème
Parmesan râpé

Temps de préparation :40min
Temps de cuisson :20min

Pour le pesto : Mettre tous les ingrédients sauf l’huile dans un blender. Bien mixer le tout, finement. Ajouter ensuite l’huile (selon vos goûts) pour détendre le pesto. Mais attention, il ne doit pas être trop liquide. Réserver

Pour les courgettes : Détailler de fines tranches à l’aide d’une mandoline (ou d’un éplucheur, ça marche aussi). Badigeonner avec un tout petit peu d’huile d’olive un papier sulfurisé déposer dans une plaque de cuisson. Y déposer les fines tranches de courgettes, puis saler et poivrer un peu. Pas besoin de mettre de l’huile sur le dessus, elles vont confire ainsi au four préchauffé à 180°C pendants environ 5—7min (selon leur épaisseur). Elles ne doivent pas brunir. Sortir du four et laisser refroidir, réserver.

Cuire les pâtes pour lasagnes dans un grand volume d’eau, vraiment al dente, voir même moins vu qu’elles vont finir de cuire rapidement au four. Stopper la cuisson en les trempant dans un grand volume d’eau froide après les avoir égouttées. Les emballer délicatement (une par une) dans du film alimentaire (encore un tout petit peu humide, cela évitera qu’elles sèchent). Réserver.

Pour la farce au fromage : Faire fondre le gorgonzola au four micro-ondes puis l’incorporer à la ricotta. Détendre le tout avec un peu de demi-crème si le tout est trop compact (cela dépend de la ricotta). Saler et poivrer légèrement. Réserver.

Il ne suffit plus qu’ensuite à préparer les petits moules (style pyrex, version individuelle) ou un petit plat à gratin (badigeonner les bords d’un tout petit peu d’huile d’olive). Une couche de pâtes, quelques courgettes confites, un peu de pesto, un peu de farce au fromage, des pâtes et ainsi de suite jusqu’en haut. Finir avec un peu de parmesan fraîchement râpé et un filet de demi-crème. Enfourner 5min dans le haut du four (corde-chauffe ET chaleur tournante si possible) pour réchauffer et dorer le tout.


La recette prend un peu de temps au niveau de la préparation des différentes parties, mais tout peut se faire à l’avance. Il suffit de les cuire au dernier moment. Il ne faut pas mettre trop d’huile d’olive à chaque étape, car sinon le tout risque de « baigner dans l’huile » et d’être ainsi trop riche et lourd. À vous d’avoir la main légère! On peut remplacer les courgettes par des aubergines ou autres légumes de saison, selon vos goûts.

J’ai regretté de ne pas avoir fait un grand plat à gratin, pour pouvoir nous en resservir un petit morceau, juste par gourmandise

Une page se tourne, je finissais fin juin mon premier stage d’une année de chimie clinique ! Une année riche en rencontres (encore un immense MERCI pour l'accueil que j'ai reçu à l'HFR), en apprentissage et découvertes multiples. J’aime vraiment beaucoup ma nouvelle voie professionnelle, je ne m’en lasse pas. Et me voici lundi matin, un peu intimidé je dois avouer, dans les corridors du CHUV, un des 3 plus grands hôpitaux suisses pour commencer mon nouveau stage d’une année en immunologie clinique.

Au programme, biologie moléculaire (et ça autant dire que j'adore!!!), microscopie, auto-immunité, transplantation, compatibilité HLA et encore bien d’autres domaines ultra intéressants ! J’en salive déjà

Seul petit bémol, si je puis m’exprimer ainsi, je dois (pour la 1ère fois de ma vie) prendre le train pour me rendre sur mon lieu de travail…pas de quoi fouetter un chat, je ne passe « que » 2 heures dans les transports en commun…plus ou moins saturés…mais bon, c’est un bien petit sacrifie à faire pour pouvoir travailler dans un des meilleurs labos d’immuno de Suisse !

Du coup, une recette simple et rapide à préparer en un rien de temps. Tout le monde connaît les spaghettis bolognaise, voici une version asiatique de cette fameuse sauce.


250g de spaghetti (ou selon vos habitudes)

1 petit oignon, finement émincé
1càc de graines de cumin
3cm de gingembre frais, râpé
2-3càs de pâte de curry rouge

400g de bœuf haché
1 petite boîte de pelatti
2càs de concentré de tomate
1càs de sucre de palme
10cl de lait de coco
100g de petits pois frais ou surgelés
Sel et poivre

Coriandre fraîche pour la déco

Temps de préparation :10min
Temps de cuisson :15min

Dans une poêle, faire chauffer un peu d’huile. Y faire revenir les oignons, le gingembre, le cumin et la pâte de curry rouge pendant 1-2min. Ajouter ensuite la viande, faire cuire le tout pendant env. 5min. Ajouter tout le reste et faire mijoter sur feux doux pendant environ 10min, couvert (les petits pois doivent être cuits). Réserver au chaud

Faire cuire les pâtes dans un grand volume d’eau salée. Égoutter et servir sans attendre avec la sauce par-dessus.


Un plat rapide à préparer et qui change de la Bolognaise traditionnelle. J’ai vraiment beaucoup aimé cette version un peu piquante et très parfumée. Si la sauce est trop piquante, il suffit d’ajouter un peu de lait de coco À refaire, très vite !

Ah les cerises, que j’aime ce fruit ! J’adorais aller les cueillir quand j’étais petit, c’était toute une aventure. Il fallait s’équiper d’un panier en osier attaché à la ceinture, monter au sommet d’une échelle qui devait être 3x plus vieille que moi et arriver là où les branches croulaient sous le poids des fruits. Une cerise dans le panier, une dans la bouche, la récolte n’était pas très efficace mais qu’est-ce que c’était bon et bien !

J’aime bien les grosses cerises noires, bien charnues et gouteuses. Je me rappelle aussi quand ma grand-mère nous préparait des gâteaux et qu’il fallait les dénoyauter minutieusement. Quel travail, mais quel résultat ! Un goût inoubliable !



J’avais envie de mettre ce fruit en avant, en le préparant en tiramisu…mais, contrainte supplémentaire, il fallait que ce dessert se garde un jour au minimum. Contrainte un peu embêtante avec les jaunes d’œufs frais. Mais qu’à cela ne tienne, il suffisait de mettre le tout au congélateur !





300g de cerises

20g de sucre

2càs de miel



150g de mascarpone

2 œufs

50g de sucre

2 càs de kirsch

8 amaretti (FineFood, amaretti all’arancia)

20g de chocolat blanc



J’ai découvert des amaretti absolument délicieux dans la gamme FineFood de Coop, parfumés à l’orange ! Très moelleux et pas secs, ils vont spécialement bien pour cette recette et remplacent les biscuits à la cuillère traditionnels !



Temps de préparation :20min

Temps de cuisson :10min

Temps de repos: 4h



Laver et dénoyauter les cerises. C’est plus simple de le faire si les cerises sont plongées dans un peu d’eau très froide avec des glaçons quelques minutes avant. Le noyau se détache très facilement. Les poêler avec 20g de sucre et le miel pendant 10mn à feu moyen.



Pendant ce temps, séparer les blancs des jaunes. Battre les jaunes avec les 50g de sucre. Ajoutez la mascarpone et le kirsch, puis bien mélanger le tout pour obtenir un mélange bien homogène. L’ajoute du kirch va éviter que la mousse deviennent trop dure au congélateur.



Dans un autre bol, monter les blancs en neige très fermes avec une pincée de sel. Incorporer à l’aide d’une maryse délicatement les blancs à l’appareil au mascarpone.



Découper les amaretti en petits morceaux et les disposer au fond des verres ou verrines. Recouvrir ensuite avec les cerises et un peu de jus. Parsemer quelques gros copeaux de chocolats blancs puis finir avec la mousse. Laisser reposer au congélateur pour minimum 4h.



Sortir les verres 10-15min à l’avance pour que les cerises décongèlent, c’est plus agréable.





Le tout donne un dessert très frais et « léger ». Les cerises, le kirch et les amaretti se marient très bien ensemble pour donner un dessert très gourmand !